op.90 en la maj (1833)
Symphonie inspirée par le voyage de Mendelssohn en Italie en 1830.
« C’est l’Italie. Et maintenant vient de débuter ce que j’ai toujours pensé… être la plus grande joie de ma vie » écrit-il à ses parents. À sa sœur il dira que la symphonie italienne sera « la plus joyeuse pièce qu’il aura jamais composée« .
Quatres parties :
- Allegro vivace, en la majeur
- Andante con moto, en ré mineur
- Con moto moderato, en la majeur
- Saltarello : Presto, en la mineur
Le premier mouvement solaire et mozartien domine l’œuvre. C’est un excellent antidépresseur.
Le dernier mouvement est basé sur une danse très rare dans la musique classique moderne : la saltarelle, une danse rapide italienne.
hr-Sinfonieorchester (Francfort) dirigé par Andrés Orozco-Estrada :