Quintette pour piano en mi b maj op. 44 (Leipzig, 1842)
On connait le mot fameux de Liszt à propos de ce quintette : « il sent trop son Leipzig ». C’est-à-dire trop travaillé, trop de contrepoint.
Pourtant c’est ce qui fait de ce quintette le modèle du genre : fougue romantique et superbes cellules mélodiques servies par une écriture serrée et savante. Une des plus belles réussites de Schumann.
Martha Argerich (piano), Renaud Capuçon (violon), Mischa Maisky (violoncelle), Gabriele Shek (violon) et Lyda Chen (alto) :