(1877-1900)
Commencé en 1877, exécuté pour la première fois, à l’église de la Madeleine en 1888, ou Fauré était titulaire du grand-orgue (mais semble-t-il pas très croyant), complété en 1893 et orchestré totalement en 1900.
Contrairement au requiem de Mozart (également en ré mineur), celui de Fauré donne une vision apaisante de la mort, conçue « comme une délivrance heureuse, une aspiration au bonheur d’au-delà ».
Gabriel Fauré est né à Pamiers dans l’Ariège en 1845, mort à Paris en 1924. On perçoit particulièrement dans ce Requiem sa pratique de la liturgie et son éducation musicale à l’école Niedermayer où il étudia notamment le plain-chant grégorien.
Sublime ou soporifique ? Apaisant ou doucereux ? Je vous laisse juge…
- Introit et Kyrie
- Offertoire
- Sanctus
- Pie Jesu
- Agnus Dei
- Libera me
- In Paradisum
Laurence Equilbey dirige l’Ensemble Orchestral de Paris et le Chœur Accentus (qu’elle a fondé)