Beethoven – Sonate pour violon et piano n°5 « le printemps »

en fa maj op.24 (1801)

Le surnom de cette sonate en quatre mouvements est posthume. Oeuvre facile d’accès, très mozartienne, commencée lorsque Beeethoven n’était âgé que de 25 ans vers 1795 (le rondo est d’ailleurs basé sur un air de la Clémence de Titus »). L’adagio mignonnet et ses basses d’Alberti fleure bon le second 18e siècle.

Leonidas Kavakos et Enrico Pace :