Catégorie : Œuvres

  • Mozart – Quintette pour cor K.407

    en mib maj (1782) Pièce sympathique qui donne pour une fois la vedette au cor dans une œuvre de musique de chambre. Trois mouvements : allegro, andante, et un rondo allegro. La présence inhabituelle de deux altos et d’un seul violon donne une sonorité plus grave aux cordes, qui s’accordent bien avec le son du…

  • Mozart – Fantaisie en ré min K397

    (Vienne 1782) Courte pièce bien connue des apprentis pianistes, qui ne manque pas de charme malgré la fin un peu mièvre. Débute par de mystérieux arpèges en mineur andante, qui semblent improvisés, puis un premier thème opératique rempli d’inquiétude sur un accompagnement très simple en accords plaqués, un épisode de transition descendant et un deuxième…

  • Mozart – Concerto pour piano n°21

    (1785) en ut majeur K. 467 (Vienne mars 1785) Pour faire court : c’est le plus célèbre des concertos de Mozart. C’est aussi une sorte de Mozart idéal transformé en concerto.3 mvts : 1 Allegro maestoso (do/ut maj) 2. Andante (fa maj) 3. Allegro vivace assai (do/ut maj) Comment allait Mozart à l’époque ? Plutôt…

  • Mozart – Sérénade « Gran Partita »

    Sérénade en sib maj K361a (370a) (1781-82) Pièce pour 13 instruments à vent donnée en concert au Burgtheater de Vienne en 1784, en l’honneur du clarinettiste Anton Stadler, ami de Mozart.L’effectif ample est composé de paires d’instruments à vent : deux hautbois, deux clarinettes, deux cors de basset (clarinette alto), quatre cors (deux en fa…

  • Respighi – Pini di Roma

    (1927) Deuxième partie de la « trilogie romaine », après les « Fontaines de Rome » (1916) et avant les « Fêtes Romaine » (1928). Né à Bologne, Ottorino Respighi (1879-1936) est l’auteur d’une œuvre abondante (opéras, ballets, musique de chambre, musique symphonique, etc.). C’est un néo-classique qui marie les archaïsmes à une riche palette orchestrale (il a étudié plusieurs mois…

  • J-S Bach – Toccata et fugue en fa majeur

    (vers 1720) On ne sait pas trop quand cette œuvre a été composée, d’autant plus que la toccata et la fugue ne datent pas de la même époque. Inutile de s’attarder sur ces détails. C’est surtout la monumentale toccata qui nous intéresse. Loin du style improvisé des débuts, elle est plutôt de type contrapuntique, comme…

  • Rameau – Les tendres plaintes

    (1724) Nous retrouvons l’une de nos formes favorites : le rondeau, c’est-à-dire une pièce comportant un refrain et des couplets dont la mélodie varie.11ème morceau du 2éme livre de pièces pour clavecin publié en 1724, il est écrit en ré mineur sur un rythme de menuet. Il est tentant de jouer très lentement cette danse…

  • Vivaldi – Concertos pour mandoline

    On ne connait pas précisément la liste de tous les concertos composés pour l’orchestre de la Pietà, l’orphelinat où officiait Vivaldi, mais nous possédons un indice en la personne d’une de ses plus illustres musiciennes : Anna Maria née en 1696, élève préférée du maître, belle blonde aux joues roses et aux seins blancs comme…

  • Claude Balbastre – Joseph est bien marié

    (Première Suite de Noëls publié en 1770) Extrait d’un « Recueil de Noëls formant quatre suites avec des variations pour le clavecin et le forte piano, dédié à Madame la duchesse de Choiseul ». Comme on l’a dit précédemment, Balbastre était très populaire dans le salon et jouait plus souvent ses Noëls sur un clavecin…

  • Claude Balbastre – La D’Héricourt

    (publié en 1759) Claude Balbastre dit aussi Claude-Bénigne Balbastre, né à Dijon, comme Rameau, en 1724 et mort à Paris en 1799. Il est de nos jours essentiellement connu en tant qu’organiste et auteur d’un charmant recueil de Noëls joués à l’orgue, mais édités à l’origine pour le clavecin et le piano-forte. Adulé par la…