(vers 1520 ?)
Le motet est basé sur le psaume 90, qui commence par Qui habitat in adiutorio Altissimi in protectione Dei caeli commorabitur […] Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout Puissant […]
Dans la messe précédente Josquin avait utilisé un thème original basé sur le nom du dédicataire. Ici, l’expérimentation est poussé encore plus loin avec cette composition fascinante comprenant pas moins de 24 voix^^
Il aurait sans doute apprécié cet enregistrement lui aussi expérimental du Kammerchor Josquin des Préz de Leipzig :
Autre version par le Huelgas Ensemble :